Avant la réédition des Jardins statuaires en 2010, je ne connaissais pas les éditions Attila. Le livre, avec sa couverture à rabats noire, illustrée par un François Schuiten admirablement inspiré par le texte de Jacques Abeille, avait tout pour attiser mes appétits littéraires. Ma curiosité avait été récompensée par une lecture pleine de richesses et la découverte d'un univers dépaysant arpenté par des personnages saisissants d'humanité.